Bidouillage sur le montage offert par Julie Parenteau
lundi 23 décembre 2013
Deuxième danse
Nuit latine
Nuit latine
Refuge de nos corps à cœurs ouverts
Musique de rougeur chauffée à blanc
Le Tango, élévation de nos cœurs à corps
Le Tango, courbe ou haché
sous nos pieds réveillés,
ondulations de nos sens en sexes embrasés
pour la passion exhaler !
Lo le 20/12/2013 Toile de Alvaro Castagnet
mercredi 11 décembre 2013
Voyage au pays de ma grand-mère
Joséphine, très Fine au demeurant
était une fille de Bannalec
Bana, comme on dit là-bas
est un village ou plutôt un bourg ...
un bon bourg !
pas banal, ce bourg là
même si ce calembour
ne le dessert pas
Bannalec vaut le détour
Vous n’y croiserez plus Michel Tersiquel
Dit Mich ou Tersi !
Ce boug il l’a arpenté, en tous sens
en tous états
arpenté en errances vagabondes
sans découvrir le secret de Banna
qui du reste n’en a peut-être pas !
Mais ses photos et son bourg
sont autant de jalons
pour découvrir
ce pays,
pays de Fine
et de Tersi …
La photo n'est pas celle de ma grand mère ( trop belle, pour la montrer) mais celle de Fine l'épicière . portrait noir et blanc de Michel Tersiquel
Joséphine, très Fine au demeurant
était une fille de Bannalec
Bana, comme on dit là-bas
est un village ou plutôt un bourg ...
un bon bourg !
pas banal, ce bourg là
même si ce calembour
ne le dessert pas
Bannalec vaut le détour
Vous n’y croiserez plus Michel Tersiquel
Dit Mich ou Tersi !
Ce boug il l’a arpenté, en tous sens
en tous états
arpenté en errances vagabondes
sans découvrir le secret de Banna
qui du reste n’en a peut-être pas !
Mais ses photos et son bourg
sont autant de jalons
pour découvrir
ce pays,
pays de Fine
et de Tersi …
La photo n'est pas celle de ma grand mère ( trop belle, pour la montrer) mais celle de Fine l'épicière . portrait noir et blanc de Michel Tersiquel
Mictions
A toi ma belle complice décomplexée
Je veux susurrer mille fats compliments
Mais ta nature féline ne frise pas à plat !
Aux délices de ton divin calice,...
je sperme des notes timbrées
à ton oreille, je jouis des mots non articulés,
pour une porte entrouverte sur l’entente magique,
frontière dérobée de nos encoignures charnelles.
Franchissons la porte des chevauchées aquatiques,
et c’est alors: galops fous de poissons volants,
de soubresauts tressaillants...
Cette porte ! C’est la porte si secrète du plaisir partagé,
de la complicité extatique,
dont la clef est Graal consigné !
Lo le 10/12/2013 copyright @lodedada
Toile de Mila Daudet-Mencier
A toi ma belle complice décomplexée
Je veux susurrer mille fats compliments
Mais ta nature féline ne frise pas à plat !
Aux délices de ton divin calice,...
je sperme des notes timbrées
à ton oreille, je jouis des mots non articulés,
pour une porte entrouverte sur l’entente magique,
frontière dérobée de nos encoignures charnelles.
Franchissons la porte des chevauchées aquatiques,
et c’est alors: galops fous de poissons volants,
de soubresauts tressaillants...
Cette porte ! C’est la porte si secrète du plaisir partagé,
de la complicité extatique,
dont la clef est Graal consigné !
Lo le 10/12/2013 copyright @lodedada
Toile de Mila Daudet-Mencier
samedi 7 décembre 2013
Soleil de Décembre
Soleil de Décembre qui allonge les ombres
ombres fines et étirées
taillées au couteau ;
silhouettes détourées d’un trait nerveux
qui magnifient en noir et gris
les formes de la vie.
Résonnance onirique d’un réel atone...
le monde des ombres
est le théâtre projeté de la vie.
Pas de faux-semblants, de couleurs alléchantes
nul détail, pas de superflu, l’ombre est nue,
mais jamais impudique !
Elle a le pouvoir de pouvoir !
pouvoir transformer le vulgaire
en esthétique magique …
Soleil de Décembre qui allonge les ombres
ombres fines et étirées
taillées au couteau ;
silhouettes détourées d’un trait nerveux
qui magnifient en noir et gris
les formes de la vie.
Résonnance onirique d’un réel atone...
le monde des ombres
est le théâtre projeté de la vie.
Pas de faux-semblants, de couleurs alléchantes
nul détail, pas de superflu, l’ombre est nue,
mais jamais impudique !
Elle a le pouvoir de pouvoir !
pouvoir transformer le vulgaire
en esthétique magique …
Texte de Lo 6/12 2013 Droits réservés , Dépôt légal .
Photo: Galileo Photo extraite du blog de GalileoAfficher la suite
lundi 2 décembre 2013
La Praire de Port-Manec’h
Œil d’enfant écarquillé
mirant la coquille fermée …
ma salive réveillait
mes saveurs d’enfance oubliées....
Atteindre le fruit
Le fruit de mer offert !
Mais la coquille se fit carapace…
ne voulant être violée,
à la pointe du couteau frétillant résistait !
Je m’agitais du poignet,
rien à faire la coquille faisait la sourde !
Ultime humiliation, les vrais hommes
Les écailleurs, l’ont déflorée …
Le fruit me fut offert,
le goût, certes j’ai apprécié !
Mais l’acte était manqué
car
ce bivalve m’avait nargué …
Le fruit de mer offert !
Mais la coquille se fit carapace…
ne voulant être violée,
à la pointe du couteau frétillant résistait !
Je m’agitais du poignet,
rien à faire la coquille faisait la sourde !
Ultime humiliation, les vrais hommes
Les écailleurs, l’ont déflorée …
Le fruit me fut offert,
le goût, certes j’ai apprécié !
Mais l’acte était manqué
car
ce bivalve m’avait nargué …
Lo
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